Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30 septembre 2010

Jeudi 7 octobre : referendum pour défendre nos RTT

PAS QUESTION DE RENONCER À UN SEUL JOUR DE RTT !

Participez le jeudi 7 octobre

au référendum

pour défendre nos RTT !

Le 28 septembre, les salariés réunis en AG à l’appel du SNJ, de FO et de SUD ont décidé d’organiser un référendum pour faire entendre la voix des salariés.

En effet, les dernières propositions de la direction sont inacceptables* :

Une hausse de 0,5 % des salaires (brut) en janvier 2011 et 0,5 % en janvier 2012. Pas cher payé pour l’abandon de plusieurs jours de RTT… Et aussi une façon pour la direction de bloquer les hausses collectives pour les deux années à venir.

Une « journée direction » qui n’est ni un jour de RTT ni un jour de congé. Un ovni « octroyé » pour 2012, dont la pérennité n’est pas assurée.

Des RTT ramenées à 14 jours en 2013, et 2 à 3 jours de RTT transformés en congés payés.

Ces trois « avancées » de la direction ne changent rien : nous risquons de perdre au moins 6 jours de RTT.

De plus, la dernière version du projet est une véritable usine à gaz qui mélange tout (RTT, congés, salaires…), qui va diviser le personnel et discriminer les nouveaux arrivants.
On y dénombre 5 catégories de salariés (Express, ex-Expansion, Etudiant, Direction et chefs de service, nouveaux entrants) auxquels s’appliqueraient des régimes différents : total de jours de RTT + jours de congé, date d’entrée en vigueur du nouvel accord, augmentation, journée « direction »…

La loi n’impose pas une renégociation des 35 heures. La menace d’appliquer les 35 heures hebdomadaires avec « la perte de tous les jours de RTT » faute de compromis avec les syndicats ne tient pas et n’est pas réalisable. La direction le sait et affirme ellemême qu’elle ne le « souhaite en aucun cas ».

Montrons, tous ensemble, que son projet injuste et injustifiable doit être retiré !

* retrouvez-les en intégralité sur
http://snjexpress.hautetfort.com

La question à laquelle nous vous inviterons à répondre par oui ou par non :

Etes-vous pour le maintien de l’intégralité de vos jours de RTT ?

Le vote aura lieu le jeudi 7 octobre 2010 dans le hall du 23.

Pour le vote par procuration, le bulletin ci-dessous est à remettre dès aujourd’hui à la personne qui votera à votre place.

SNJ  FO  SUD
30 septembre 2010

GER referendum RTT 30-09-10.pdf

21 septembre 2010

RTT : La parole aux salariés

RTT : RIEN N’EST JOUÉ

La parole aux salariés

A l’unanimité, l’AG des salariés, réunie le 10 septembre dernier, avait demandé à « l’ensemble de (ses) représentants syndicaux de tout mettre en œuvre pour défendre l’intégralité de nos RTT » et de tenir « une assemblée générale unitaire ».

Malheureusement, les syndicats CFDT et CGT de GER nous ont répondu par la négative en ces termes : « (…) Le SNJ et l’Intersyndicale CFDT-CGT ont des divergences, bien connues de tous, sur l’action à mener contre la dénonciation de notre accord RTT (…). Aussi, et comme un de vos représentants l’indiquait lors de la dernière séance de négociations sur l’accord RTT, nous refusons ”d’étaler nos divergences” devant les salariés – ce qui ne profiterait, bien évidement, qu’à la direction. L’Intersyndicale CFDT-CGT ne participera donc pas à une assemblée générale de division syndicale. »

Quelle étrange pratique démocratique que de réduire le débat entre syndicats à une affaire de linge sale qu’il faudrait laver « en famille », à l’insu des premiers concernés, vous tous !

Pour notre part, SNJ et FO de GER, ainsi que SUD de l’Etudiant, nous déplorons ce refus d’entendre la demande des salariés et la confusion entretenue autour des actuelles négociations.
Brandir la menace d’une « disparition pure et simple de nos RTT », revient à se faire le relais du chantage de la direction.

Nous répétons notre volonté que la parole soit donnée aux salariés. Pour ce faire nous sommes prêts à organiser une consultation pour que les salariés décident eux-mêmes de la position à adopter, avant qu’un accord soit ficelé et soumis à un référendum, avec comme seul choix : « à prendre où à laisser », sans avoir eu la possibilité de peser sur les négociations en cours.

Dès à présent, nous invitons tous les salariés à une réunion d’information sur l’état réel des négociations, afin de décider ensemble des initiatives à prendre pour défendre l’intégralité de nos RTT.

Rendez-vous le mardi 28 septembre

à 12 heures, au 6e étage


Aux signataires de la pétition

Certains d’entre vous ont signé une pétition qui propose de faire passer le nombre de jours de RTT de 22 à 16, un projet motivé par le risque de se retrouver, à défaut d’accord, à « 35 heures avec zéro RTT ».

Or ce risque n’est pas crédible: en supprimant les RTT, la direction serait obligée de payer des heures supplémentaires, tout en gérant la désorganisation des services et la démotivation des salariés.

Plutôt que de nous faire peur inutilement, unissons nos forces pour faire reculer la direction :
pas question de toucher à un seul jour de RTT !

En octobre 2008, à l’initiative du SNJ, de la CFDT et de la CGT, nous avions fait signer massivement une pétition… qui s’opposait « à la réduction du nombre de jours de RTT (…), une véritable provocation après des années de perte de pouvoir d’achat et de suppressions d’emplois. »

Que s’est-il passé, depuis, pour que ces 22 jours de RTT que nous défendions ensemble se transforment en 16 jours dans la pétition proposée à votre signature ?

 

Le SNJ de GER,
FO de GER,
SUD de L’Etudiant


20 septembre 2010

14 septembre 2010

RTT : résolution votée en AG

Le SNJ, FO et la CGT de L’Etudiant portent à votre connaissance la résolution votée à l’unanimité par les 150 salariés présents lors de l’assemblée générale du personnel réunie vendredi dernier.

« Les salariés du Groupe Express-Roularta réunis le vendredi 10 septembre 2010 se prononcent sans équivoque pour lemaintien de l’intégralité de leurs jours de RTT.

Ceci n’est pas négociable.

Après des années de gel salarial et de réduction des effectifs, ces RTT sont un de nos derniers acquis. Il n’est donc pas question d’abandonner un seul jour.

C’est pourquoi nous demandons à l’ensemble de nos représentants syndicaux de tout mettre enoeuvre pour défendre l’intégralité de nos RTT.

Nous demandons à l’ensemble des organisations syndicales du groupe d’organiser d’ici une semaine une assemblée générale unitaire pour les RTT et pour discuter de l’organisation d’un référendum sur cette question. »


Le SNJ de GER,
FO de GER,
La CGT de L’Etudiant

10 septembre 2010

09 septembre 2010

Ensemble, défendons nos RTT !

13, 16 ou 22 jours ?

Ensemble, défendons nos RTT !

Notre appel (SNJ, FO, CGT de L’Etudiant), à toutes les organisations syndicales du groupe afin de tenir, ensemble, une assemblée générale (voir notre tract du 23 août dernier) est malheureusement resté sans réponse.

Depuis fin juin, nous connaissons le projet de la direction de GER. Il est grand temps d'envisager la meilleure façon de défendre le nôtre, dans l'action et la mobilisation.

Alors que la direction propose de ramener le nombre de jours de RTT de 22 à 13, la CFDT et la CGT de GER se disent prêtes à accepter 16 jours, contre de très hypothétiques «compensations» en congés et salaire. « Il faut un nouvel accord sur les RTT », affirment-ils. Pour quelle raison ? L’accord actuel ne leur convient-il plus, alors qu’ils l'avaient signé ?

Ne faudrait-il pas plutôt rassembler nos forces pour obliger la direction à reconduire un accord sur 22 jours de RTT ? Comment peux-t-on peser dans une négociation sans mobiliser les salariés ?

« Tout ce qui nous reste aujourd'hui, c'est les accords 35 heures, puisque tant au niveau salarial que des effectifs, la rigueur nous est imposée depuis 8 ans. » * Tous les syndicats étaient d’accord sur ce constat fin 2008. Depuis, GER a subi deux autres années de rigueur. Et la direction nous annonce, à l’occasion du maintien sur le site de Châteaudun (et la réduction du loyer de 2 millions d’euros par an), la « nécessité de nouvelles économies » …

Pour nous, plus encore qu’en 2008, nos jours de RTT doivent être défendus, intégralement et sans concession. Le chantage que fait la direction à la semaine de 35 heures sans RTT ne doit pas être toléré. Elle n’y a aucun intérêt, puisqu’elle devrait payer des heures supplémentaires, contrôler le temps de présence de chacun, sans parler de l’ambiance instaurée par l’obligation de pointer.

13, 16 ou 22 jours ? Il est urgent d’avoir ce débat avec tous les syndicats et tous les salariés. C'est pourquoi nous vous invitons à participer à une assemblée générale afin de montrer notre détermination. Pour établir un rapport de force qui nous soit favorable, l’unité est indispensable. Décidons des actions à mener pour défendre nos RTT.

Assemblée générale

vendredi 10 septembre à 12 heures

au sixième étage



Déclaration à l’AFP d’un représentant CGT-CFDT de GER, le 12-09-2008.



Le SNJ de GER,
FO de GER,
La CGT de L’Etudiant


9 septembre 2010

----

Lire aussi le tract du SNJ du 17 novembre 2008 "Pas un jour de RTT ne doit être bradé" (note du SNJ).

24 août 2010

Tous unis pour défendre nos RTT !

Fin juin, la direction a fait connaître son projet concernant les 35 heures à GER. Pour l’essentiel, elle entend ramener le nombre de jours de RTT de 22 à 13 ! Elle veut donc nous faire travailler davantage dès 2011, avec un échelonnement dans le temps de la réduction des jours non travaillés, ceux-ci passant de 49 à 43 au 1er janvier 2013.

Rien ne justifie ce projet, sans impact économique, uniquement motivé par la volonté de la direction d’en finir avec les RTT.

Ce projet est scandaleux alors que diminue notre pouvoir d’achat et que s’aggravent nos conditions de travail.

Sa mise en œuvre ne pourra être que néfaste pour tous les salariés déjà malmenés par l’accroissement de leur charge de travail et la baisse des effectifs.

Pour le SNJ et FO de GER et la CGT de L’Etudiant, ce projet doit être combattu. Nous n’y parviendrons qu’en rassemblant l’ensemble des salariés du groupe, et en unissant toutes les forces syndicales du site de Châteaudun.

C’est pourquoi nous lançons un appel à tous les syndicats du groupe afin de fixer ensemble une date d’assemblée générale, début septembre, réunissant tous les salariés du site, afin d’envisager en commun la meilleure façon d’organiser la défense de nos RTT.

Nous proposons d’organiser très vite une AG commune sur les 35 heures.

Il est urgent que les syndicats déterminent avec les salariés leurs revendications et préparent la défense de cet acquis.

Le SNJ de GER,
FO de GER,
La CGT de L’Etudiant

16 mars 2010

Non à l'étranglement de L'Expansion !

L’Expansion poursuit sa grève entamée le vendredi 12 mars, à la suite de l’annonce de la suppression du poste de rédacteur en chef édition. La rédaction du magazine réclame le maintien de ce poste, indispensable au bon fonctionnement du mensuel. En arrêtant le travail, les salariés expriment leur ras-le-bol d’une situation qui ne cesse de se dégrader depuis des mois.

Après les départs non remplacés de journalistes, l’éviction d’Alain Louyot, directeur de la rédaction, et celle de Katherine Menguy, directrice déléguée, en octobre dernier, cette fois c’est au tour du poste de rédacteur en chef édition d’être visé.

Pour justifier cette décision, la direction invoque des raisons économiques et la nécessité d’améliorer l’organisation du magazine. Or, c’est l’inverse qui va se produire avec la suppression de ce poste clé, avec, en prime, une surcharge de travail
pour les salariés restants.

La direction reste dans le flou, incapable de dire comment et avec qui sera concrètement réalisé demain le magazine. Cette prétendue « nouvelle organisation », à effectifs et moyens réduits, risque de conduire, à terme, à la réalisation d’un Expansion low cost, alors que la direction affiche de grandes ambitions, en programmant le lancement d’une nouvelle formule dès le mois prochain.

En l’espace de 5 ans, L’Expansion a perdu l’équivalent de 9 postes à plein temps, soit 25 % de ses effectifs, pour une charge de travail qui s’est alourdie, la rédaction étant « invitée » à contribuer toujours plus au Web et à fournir des papiers à L’Express. Les renforts ont été réduits. Le recours à un bataillon de stagiaires pour pallier les sous-effectifs est devenu la règle. Tous les budgets ont été rabotés dont celui, vital, de la promotion, insignifiant depuis près de 2 ans.

L’Expansion apparaît de plus en plus comme le laboratoire de la « roulartisation », qui promet de se déployer dans notre groupe (mutualisations, low cost, newsroom, salariés multitâches...).

Ensemble, mettons un terme à ce processus qui menace nos emplois, notre santé, nos conditions de travail et la qualité de nos titres

Les organisations syndicales du site de Châteaudun (CFDT, CGT, FO et SNJ de GER, CFDT et CGT de L’Etudiant) soutiennent sans réserve la grève de L’Expansion et réclament le maintien du poste de rédacteur en chef édition. Elles appellent les salariés à venir soutenir leurs collègues de L’Expansion qui manifestent, à 11 heures, devant la salle du Conseil, à l’occasion de la conférence de presse de Rik de Nolf, et devant les entrées du bâtiment.

Le 16 mars 2010

CFDT  CGT  FO  SNJ


100316expansion.pdf

08 mars 2010

Oui à de vraies négociations

Salaires, RTT, multimédia : oui à de vraies négociations

Négociations salariales : zéro euro pour tous

Lors de la négociation annuelle obligatoire sur les salaires, le SNJ et FO ont demandé :

  • 100 euros pour tous ;
  • l’application de la prime d’ancienneté pour les pigistes (accords GER et jugement de novembre 2009 sur le protocole d’accord national).

Réponses de la direction :

  • zéro euro d’augmentation collective... mais + 0,5 % pour les augmentations individuelles, décidées dans l’opacité et à la tête du client ;
  • une négociation en juillet… à la condition d’un équilibre des résultats de GER.

RTT : reculer pour mieux sauter ?

L’échéance de l’accord RTT est reportée à fin juin, comme si l’on voulait que ce débat ne soit pas au cœur de la campagne électorale. Surtout, les négociations auront lieu avant les congés d’été, période peu propice à la mobilisation des salariés.

Le SNJ et FO refusent la diminution du nombre de jours de RTT, restant fidèles au vote en AG des salariés, après la dénonciation par la direction de l’accord 35 heures, fin 2008. Si une négociation doit se tenir, ce n’est donc pas pour diminuer le nombre de jours de RTT !

Multimédia : la direction ne doit pas passer en force

Le SNJ et FO demandent la revalorisation des droits d’auteur, car la reprise des articles et photos a explosé. Quant au travail multi-supports (papier et web), le SNJ et FO exigent le volontariat : personne ne doit y être contraint, et des moyens : à travail supplémentaire, effectifs supplémentaires, et rémunération supplémentaire.

Par ailleurs, le SNJ et FO rappellent que, selon la loi, le journaliste professionnel est attaché à un titre : personne ne peut donc être contraint de collaborer à plusieurs titres.

C’est sur ces bases que le SNJ et FO participeront, comme ils l’ont fait dans d’autres entreprises, à une éventuelle négociation. Négociation qui risque d’être compromise par le passage en force de la direction, qui a d’ores et déjà impulsé la collaboration multi-titres.

Elections : pas de discrimination envers les pigistes

Les élections des DP et du CE sont prévues le 1er avril (protocole affiché à chaque étage).

Le SNJ et FO ont obtenu (en application de la loi, et du jugement de novembre 2009) le même traitement pour les pigistes et les autres salariés : l’électorat et l’éligibilité des pigistes ne sont plus conditionnés à un minimum de revenu annuel.

En revanche, la direction a refusé une clause prévoyant de nouvelles élections après la fusion avec le Groupe L’Etudiant. Ce qui revient à priver les 158 salariés de L’Etudiant de toute représentation.
Le SNJ et FO n’ont donc pas signé le protocole préélectoral.

Ne vous laissez pas confisquer ces débats, et donc votre avenir !

SNJ           FO

 

100308fosnj.pdf

14 octobre 2009

Stop à la roulartisation !

Après la fusion de Point de Vue et de Mieux Vivre avec GER, la fusion prochaine de L’Etudiant et celle de Studio-Ciné Live, après l’annonce d’une réorganisation générale du groupe, il est temps aujourd’hui que tous les salariés de Roularta Media France se fassent entendre auprès de l’actionnaire.

Des emplois supprimés, des effectifs qui fondent, des conditions de travail qui ne cessent de se dégrader, une baisse continuelle des moyens, la fermeture ou la vente de titres, le blocage des salaires, des déménagements, la remise en cause de nos acquis (35 heures)… voilà comment se traduit pour les salariés la stratégie de Roularta depuis que le groupe belge est devenu notre actionnaire principal. Nous payons très chèrement la dette qu’il a contractée pour financer son implantation en France.

Cette stratégie touche l’ensemble des titres et des entités juridiques de Roularta Media France.

C’est pourquoi tous les salariés de RMF doivent aujourd’hui prendre la parole, ensemble.



Roularta veut « mutualiser » les services ?

Alors, à notre tour, mutualisons nos forces !



Toutes les organisations syndicales des sociétés de Roularta Media France invitent les salariés (GER, l’Etudiant, À nous Paris, Studio Press) à une assemblée générale.



LUNDI 19 OCTOBRE à 13 heures

Salle JJSS au 6e étage

Envisageons ensemble les actions à mener !



CFDT CFTC CGT FO SNJ

07 octobre 2009

Une réorganisation à hauts risques

Face à la crise et à la transformation du paysage médiatique, le développement de l’entreprise aurait dû passer par un projet ambitieux. Mais le projet présenté par la direction est avant tout un projet de réorganisation du management. Sur les moyens déployés pour réussir, pas un mot ! Comment allons-nous travailler ? Que deviennent nos métiers et nos qualifications ?

L'annonce de cette réorganisation, et la fusion du Groupe L’Etudiant et de Studio avec GER, ont de quoi inquiéter les salariés, après des années de gestion Roularta marquées par les licenciements et les disparitions de postes, la dégradation des conditions de travail et la baisse de la qualité de nos titres.

La fusion de L’Etudiant va se traduire par une nouvelle chasse aux « doublons » dans de nombreux services avec des suppressions de postes à la clé. L'absence de précisions sur les « convergences des activités print/web » est lourde demenaces sur l’accroissement de la charge de travail de chacun. Ce plan s’accompagne aussi d’un « resserrement de la hiérarchie » qui affaiblit l’indépendance rédactionnelle et l’avenir de plusieurs titres.

Les premières manœuvres de la direction, en particulier à L’Expansion dont la direction risque d’être décapitée pour des raisons « d’économies », confirment toutes ces craintes.

Un Comité d’entreprise extraordinaire est de nouveau convoqué le 9 octobre.

Nous appelons les salariés de GER à se retrouver à l’issue de cette réunion en Assemblée générale afin d’examiner les conséquences de ce plan, dont la logique semble se résumer à faire toujours plus avec encore moins de moyens.

Retrouvons-nous le lundi 12 octobre à 12 heures au 6e étage afin d’examiner les actions à mener ensemble pour défendre nos emplois, nos conditions de travail et nos titres.


ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

lundi 12 octobre à 12 heures

au 6e étage



CFDT CFTC CGT FO SNJ

 

27 juillet 2009

« Atmo » : la liquidation

Lors du Comité d’entreprise extraordinaire convoqué d’urgence lundi 27 juillet, la direction du groupe a annoncé aux élus son projet d’arrêt de la publication du mensuel Atmosphères, cédé à Prisma Presse sous forme de « contrat de licence » au bénéfice de son titre mensuel Femmes.

Ce projet, qui constitue évidemment une très mauvaise nouvelle, est lourd de conséquences sociales : 14 suppressions de postes. Les équipes d’Atmosphères seraient très partiellement reprises chez Prisma Presse. C’est donc au sein de GER qu’il faudra trouver les solutions de reclassement des journalistes ainsi que des salariés de la régie. A quelle échéance ? Sans doute très rapprochée, le numéro de septembre étant le dernier à paraître.

Venant après un PSE qui s’est traduit par la suppression de plus de 10 % des emplois du groupe, cette annonce, dramatique pour les intéréssés, indigne les élus. Malgré leurs multiples appels à la transparence au cours des récentes séances du Comité d’entreprise, la direction a choisi de procéder de la pire façon qui soit, en dévoilant ses intentions en pleine période de congés. Hasard ou nécessités du calendrier des négociations avec Prisma ? Il est permis de parier aussi sur la volonté du directoire et de l’actionnaire de jouer la montre dans l’annonce faite à l’équipe d’Atmosphères et dans la procédure d’information-consultation du Comité d’entreprise...

Lors de la réunion de ce jour, la direction est restée floue sur les conséquences de son projet. Ce n’est véritablement que dans la seconde quinzaine d’août que commencera l’informationconsultation des élus. Notre objectif est clair : nous assurer que, quelle que soit la formule
choisie, aucun des salariés d’Atmosphères ne se retrouve privé d’emploi.

Au-delà de cette position de principe, les élus considèrent que, si la situation d’Atmosphères est à ce point problématique qu’on en arrive à une telle extrémité, c’est lors du PSE que la question aurait dû être posée par la direction, et débattue avec les élus et les intéressés. Or, il n’en a rien été... Juridiquement, c’est donc au PSE qu’il faut continuer à se référer, et celui-ci ne prévoyait nullement la suppression des emplois d’Atmosphères. Chaque salarié devra donc se voir proposer par la direction une solution de reclassement équivalente au poste qu’il occupait jusqu’alors : c’est un impératif absolu.

Les élus du Comité d’entreprise - 27 juillet 2009

CFDT CGT SNJ FO CFTC

 

14 février 2009

Avis négatif du CE aux suppressions d'emplois

Le Comité d’entreprise a achevé, vendredi 13 février, les deux informations-consultations sur le Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) : l’une portait sur la réorganisation et les mesures d’économies présentées par la direction (les suppressions de postes), l’autre sur les mesures d’accompagnement du PSE (les indemnités, les modalités, etc.). Dans les deux cas, les élus ont rendu un avis négatif, retranscrits ci-dessous dans leur intégralité.

Le PSE est donc maintenant officiellement ouvert : pour vous informer concrètement de cette nouvelle étape et de ses conséquences, les élus Cfdt-Cgt et Snj invitent tous les salariés à participer, salle JJSS (6e étage), à une

Assemblée générale

lundi 16 février à 11 heures.

090213tractAG.pdf

11:52 Publié dans Tract intersyndical | Tags : emploi, ag, documentation, économies