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12 mars 2015

« Encore bravo pour ce bel accord ! »

 SNJ  SUD   12 mars 2015

« Encore bravo
pour ce bel accord ! »*

* Le cri du coeur de Corinne Pitavy et Richard Karacian,
en séance de « négociation », le 9 mars.

Fidèles à leur habitude, la CGT et la CFDT viennent de négocier un accord en catimini, qu’ils ont signé dans la foulée. Problème : les salariés n’en ont rien su. Le SNJ et SUD ont découvert le lundi 9 mars à 16 heures, la teneur de cet accord qu’on leur demandait de signer... avant le lendemain à 11 heures. Moment surréaliste : les compliments adressés en séance par la direction de GER aux négociateurs pour avoir obtenu toutes ces belles avancées !

> Pas un mot dans l’accord sur des garanties concernant le maintien des emplois. Visiblement, l’avocat mandaté par la CGT et la CFDT n’a pas su convaincre l’avocat de GER et celui de Marc Laufer sur ce point. La mobilisation des salariés aurait été certainement plus efficace pour y parvenir que ces pourparlers menés dans l’opacité.

> Les signataires obtiennent un répit de 9 mois (en plus des 15 mois prévus par la loi), avant que la casse des accords collectifs et des statuts ne commence, à l’issue du rachat. Un sursis nettement insuffisant, d’autant que rien ne s’opposera au démantèlement des services et aux suppressions d’emplois.

> L’information-consultation démarre ce vendredi, une semaine après la date prévue. La nouvelle mouture des projets du repreneur est à peine plus précise que la première. Roularta et Drahi-Laufer obtiennent une procédure de 2 mois, sans information-consultation du CHSCT (qui aurait porté cette durée à 3 mois), et avec une seule expertise (au lieu de deux), l’expert effectuant à la fois l’analyse du dossier soumis à l’autorité de la concurrence et celui concernant la situation du repreneur. Mais ce n’est pas avec les documents comptables d’une société en cours de constitution que cette expertise va nous éclairer sur sa situation financière.

> Une information-consultation du CHSCT aura lieu, mais seulement à l’issue de la clause. Elle constatera sans surprise que des départs non remplacés provoquent désorganisation, aggravation du stress et dégradation des conditions de travail. Mais il sera trop tard pour y remédier si l’on ne prévoit pas, dès aujourd’hui, de remplacer les partants. Cette information-consultation aurait dû être lancée maintenant : les services pré-presse et DSI sont déjà visés par des mesures de réorganisation.

> L’ouverture d’une négociation sur la Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences n’empêchera pas « des mesures de réorganisation emportant ou non des compressions d’effectifs ». En clair, pendant cette négociation, licenciements et réorganisations pourront continuer. Mais que les salariés se rassurent : en cas de PSE intervenant « dans les 18 mois à compter du transfert effectif de propriété », celui-ci serait aux conditions de celui de 2013. Une mince consolation, surtout pour les restants.

> La « structure de dialogue et d’information » au niveau de la Société par actions simplifiée (SAS) censée permettre aux délégués du Comité d’entreprise et au représentant de la SDJ de L’Express « de continuer à exercer les droits qu’ils exercent auprès du Conseil d’administration de la Société anonyme GER » est une promesse sans grande portée : ce Conseil « light », sans administrateurs indépendants et limité au futur groupe Express, sera sans statut juridique légal et privé de véritable information économique.

> 500 euros de « prime exceptionnelle de cession » seront versés aux seuls CDI et pigistes forfaitisés (ayant gagné 24 000 euros par an), présents au 31 décembre 2015. Soyez bien sages et croisez les doigts pour que vos titres ne soient pas cédés avant cette date : le versement de cette prime est conditionné à l’obtention d’un avis du comité d’entreprise de GER au plus tard le 13 mai 2015. La paix sociale n’est vraiment pas cher payée.

Il faut donc, dès maintenant, faire monter la pression, surtout concernant la durée de la clause de cession et obtenir des garanties sur le remplacement des partants. Il faut également que nous sachions très vite ce que prépare le repreneur, à part mettre en œuvre les projets lancés par la direction actuelle (restructuration du plateau technique de L'Express-L'Expansion, journalistes multi-titres, casse des métiers de SR, réviseur, et iconographe, etc.).

Roularta restructurait à coups de PSE sans avoir de projet. Les repreneurs semblent prendre la même voie : « Partez d’abord, l’organisation suivra ». Une attitude totalement irresponsable. Ce n’est que par une véritable mobilisation de tous les salariés que nous pouvons espérer contrer la casse sociale qui s’annonce.

PROJET_DE_PROTOCOLE_D'ACCORD_CESSION_GER_définitif.doc

150312snjsud.pdf

Voir aussi notre alerte du 29 janvier 2015 : Qui a intérêt à « aller vite » ?

29 janvier 2015

Vente : qui a intérêt à « aller vite » ?

SNJ  SUD   28 janvier 2015

La défense des activités, des emplois
et des statuts de GER

Qui a intérêt à « aller vite » ?

Presque un mois après l’ouverture d’une période de négociation exclusive entre Roularta et Patrick Drahi pour la vente de tout ou partie de GER, un point d’étape sur ces discussions est inscrit à l’ordre du jour du comité d’entreprise de ce jeudi 29 janvier.

Comme tous les salariés, nous sommes très soucieux et inquiets du devenir de GER, en particulier concernant le maintien des activités, des emplois et des statuts du personnel.

Pour autant, nous ne sommes pas partisans d’accélérer le processus. Nous ne voyons vraiment pas l’intérêt qu’il y aurait pour les salariés à « aller vite », comme le souhaitent le vendeur et le repreneur, et à se priver ainsi des moyens offerts par la loi dans le processus d’information-consultation.

De fait, à l’issue de la période d’exclusivité, le comité d’entreprise (CE) et le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) devront être informés et consultés sur les projets du repreneur et de Roularta, sur leurs motivations, leurs modalités juridiques, financières, organisationnelles, les calendriers de mise en oeuvre. Et, bien entendu, sur leurs conséquences sociales : impacts sur l’emploi, les conditions de travail et les statuts, ainsi que les mesures d’accompagnement.

Tout cela demande du temps pour être examiné et négocié.

C’est pourquoi nous ne sommes pas favorables à la signature d’un « accord de méthode » avec la direction, qui dérogerait aux délais d’information fixés par la loi et qui raccourcirait une période déjà très réduite. De même, nous ne souhaitons pas entrer dans une négociation anticipée avec Roularta et/ou le futur repreneur avant l’ouverture de l’information-consultation.

Nous utiliserons toutes les armes à notre disposition, sur les plans juridiques et syndicaux, en appelant à la mobilisation, pour empêcher la casse des services et des rédactions, que ce soit dans le groupe Roularta maintenu, dans une entité sous l’égide de Patrick Drahi, ou dans une future société de prestation de services regroupant les transversaux.

Le recours à toutes les prérogatives, dont le respect des délais, que la loi accorde encore aux représentants du personnel doit aussi nous aider à travailler et décider sous le contrôle des salariés. Notamment en vous rendant compte des réunions et en recueillant votre avis régulièrement.

Le CE et les élus du personnel doivent prendre le temps de jouer pleinement leur rôle.

Vos délégués syndicaux : André Spiga, SNJ (43 39) et Thierry Gibrat, SUD (50 47). Vos DP SNJ et SUD : Caroline Labbey (18 65) ; Dominique Noblecourt (17 80) ; Isabelle Pons (42 84).

150128snjsudAllerVite.pdf

21 mars 2013

Tous ensemble contre le PSE !

SUD  SNJ  FO

Tous ensemble contre le PSE !

Le SNJ, SUD et FO participeront à l’AG,
vendredi, à 15 heures (salle JJSS)

• CDD D’USAGE : ON EST LOIN DU COMPTE
Cette négociation – un préalable, pour nous, à toute discussion sur le PSE – ne prend pas le bon chemin.
Les pigistes forfaitisés et les CDD longue durée, remplaçant un CDI, doivent être inclus dans la négociation.
➜ Les critères de la direction sont trop restrictifs (deux ans de présence, un mi-temps minimum en 2012). Les postes faisant partie intégrante de l’activité normale et permanente des magazines doivent être requalifiés.
Si la discussion s’enlise, le SNJ et SUD demanderont aux élus du comité d’entreprise (comme ils l’ont déjà fait sans, malheureusement, être suivis), de voter une motion réclamant l’intervention de l’inspection du travail, afin de faire requalifier tous les contrats illégaux.

• LA DIRECTION EST PRESSÉE. PAS NOUS.
Les réunions marathons et les négociations se succèdent à un rythme effréné, sans aucune avancée ni proposition concrète. La direction est pressée que le CE rende son avis pour passer à la mise en oeuvre de son plan. Il n’est pas dans l’intérêt des salariés de suivre son tempo. Elle n’a pas reculé sur le nombre de licenciements et campe sur ses positions. Un CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) est convoqué le 28 mars. Son avis est déterminant pour la mise en oeuvre du PSE. Pourquoi tant de précipitation, alors que le comité d’entreprise a à peine commencé l’examen du plan ?

• QUELS PROJETS POUR L’EXPRESS ?
Malgré les démentis, le plateau technique (en particulier les iconographes) est dans le viseur. Les rédacteurs risquent demain d’effectuer des tâches (SR, maquette, iconographie…) pour lesquelles ils n’ont ni le temps, ni les compétences. La qualité et l’identité de L’Express sont menacées. La direction doit dire clairement ce qu’elle compte mettre en oeuvre.

• LA DIRECTION NOUS ENVOIE DANS LE MUR
Faute de stratégie, par ses erreurs de gestion et de management, la direction de GER est en grande partie responsable des difficultés du groupe. Réduire la masse salariale de 10 % en tuant des titres ou en les mutualisant, affaiblir dangereusement les services transversaux et s’attaquer au coeur de nos activités ne va pas redresser la situation de GER.

La direction du groupe doit renoncer à un projet de PSE qui met l’avenir de GER en danger.

Pour mieux négocier, il faut gagner du temps.
Pour la faire reculer, il faut passer à la vitesse supérieure.
Retard, blocage, non-parution de titres... Décidons-en tous ensemble.

06 mars 2013

Mobilisation générale !

CFDT  CGT  SNJ  SUD

GER en danger

Contre les 87 licenciements
Mobilisation générale !

L'assemblée générale réunie le vendredi 1er mars a, sur proposition des organisations syndicales, défini de nouvelles modalités d'action pour exiger de la direction qu'elle présente un projet crédible pour GER, qui ne se traduise pas par la suppression de 87 emplois.

Après le premier succès de la journée de mobilisation du 26 février, les cadres, journalistes et employés du groupe sont unanimes à condamner ce projet, qui mettrait au chômage des dizaines de salariés, ce qui est socialement et humainement inacceptable.

28 février 2013

Assemblée générale le 1er mars

CFDT  CGT  FO  SNJ  SUD

4oo signataires de la motion-pétition
Blocage des sites Lexpress.fr, Lentreprise.com
Lalettredelexpansion.com
Plus de 300 manifestants dans les rues de Paris !

Après le succès de la mobilisation de mardi,
les élus du Comité d'entreprise vous appellent à une

ASSEMBLEE GENERALE
le vendredi 1er mars à 11 h 30
en salle JJSS (6e étage)

au cours de laquelle nous ferons le compte-rendu détaillé du Comité d'entreprise de mardi dernier, de nos rencontres au SEPM et au ministère de la Culture et de la Communication et proposerons de nouvelles actions en vue de faire reculer la direction.

Le Plan proposé met l'avenir de GER en danger
Mobilisons-nous pour sauver nos emplois
Non aux licenciements !

22 février 2013

26 février : grève et manifestation contre le plan de licenciements

CFDT  CGT  FO  SNJ  SUD

MARDI 26 FÉVRIER 2013
MOBILISATION GÉNÉRALE CONTRE LE PSE À GER !

NON AUX LICENCIEMENTS !
NON AUX FERMETURES DE TITRES !
DES MOYENS POUR L'INFO !


Mardi prochain 26 février 2013 aura lieu la première réunion du comité d'entreprise consacrée au projet de plan social.

Comme proposé lors de l'assemblée générale de mercredi dernier, les organisations syndicales du groupe appellent l'ensemble des salariés de GER à une journée d'action et de grève, avec :

  • un débrayage et un rassemblement à 9 h 30 devant le 23, rue de Châteaudun
  • un rassemblement des salariés à 14 h 30 pour une AG à la suite du comité d’entreprise

Nous partirons ensuite tous ensemble en MANIFESTATION à 15 HEURES pour aller au SEPM (Syndicat – patronal – des Éditeurs de Presse Magazine), où nous déposerons la motion suivante, qui sera également remise au ministère de la Culture et de la Communication par une délégation d'élus du comité d'entreprise :


Nous salariés de Groupe Express-Roularta, subissons une triple crise :
- la crise économique frappant tous les salariés européens
- la crise du secteur de la presse
- mais aussi la crise provoquée à GER par notre actionnaire, Roularta : depuis sa prise de contrôle en 2006, le manque de vision et de stratégie ainsi que l'absence d'investissements de Roularta ont entraîné le déclin de notre groupe, la destruction de nos titres, de nos métiers, de nos emplois.

Aujourd'hui, après avoir refusé d'anticiper les mutations et de mettre en place la Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences prévue par la loi, Roularta veut utiliser une nouvelle fois le moyen le plus brutal et le plus archaïque dont dispose le Code du travail : un plan social, prévoyant la suppression de 87 emplois, ainsi que la disparition de plusieurs journaux et activités.

Nous sommes persuadés que les défis auxquels est confrontée la presse exigent au contraire d'investir dans l'innovation et de mobiliser toutes les  compétences. Au-delà de nos métiers et de nos emplois, c'est la richesse de notre presse et la qualité de l'information due aux citoyens qui est en jeu.

Le projet de plan social de la direction aggraverait une situation déjà très dégradée à GER : menaces sur l’identité et l’indépendance rédactionnelle de nos magazines, salariés multi-titres et multi-tâches, mutualisation des équipes et des contenus, disparition programmée de métiers indispensables à la qualité de nos journaux.

C’est pourquoi nous disons NON AUX LICENCIEMENTS et NON AUX FERMETURES DE TITRES que la direction envisage de mettre en œuvre pour faire face à des difficultés dont elle est en grande partie responsable.

Je signe la motion :

Nom et prénom :

Titre ou service :

15 janvier 2013

Pourquoi L’Etudiant est en grève aujourd’hui

Les salariés en grève de l’ex-L’Etudiant, soutenus par la SDJ de L’Etudiant, le SNJ, SUD et FO

CDI, CDD, pigistes, salariés mutualisés

Pourquoi L’Etudiant est en grève aujourd’hui

Après plus d’un an de discussions formalisées depuis six mois par des négociations, nous avons décidé aujourd’hui de faire grève. En cause : la non remise à niveau de nos salaires, alors que tous, y compris la direction, reconnaissent que nous sommes sous-payés par rapport aux salariés de GER. Aucune avancée en dehors de ce consensus. Aucune proposition alors qu’on nous avait laissé entendre que si la situation était avérée, il y serait remédié. Aucune perspective autre que de voir cette négociation noyée au sein de la NAO 2013.

Depuis trois mois, la direction est censée évoquer les cas les plus criants, mais elle argue du manque de temps pour renvoyer la négociation.

Ca suffit ! Il est temps que la direction envoie un signal tangible de sa volonté de régler la situation.

Nos revendications

  • 300 € d’augmentation dès le mois de janvier pour tous les CDD et les CDI (ce qui est malgré tout loin de combler les différentiels constatés).
  • 10 % d’augmentation pour les pigistes.
  • la réouverture la plus rapide de cette négociation.


Ce qu’on s’est entendu dire

« Ce n’est pas de la faute de GER si les salaires sont bas à L’Etudiant »

Certes, mais lorsque GER a décidé, en octobre 2010, de fusionner L’Etudiant en étant parfaitement conscient des différences de salaires, la direction n’a pas voulu en payer le prix, en refusant d’accorder les primes d’ancienneté que la loi l’obligeait pourtant à verser. Résultat : alors que le problème aurait pu être réglé à notre arrivée, la direction a fait le choix d’un groupe à deux vitesses en laissant entrer un quart des effectifs sous-payés. Et au passage, nous avons dû faire une croix sur la participation aux bénéfices ou à l’intéressement que nous touchions régulièrement.

« Vos revendications sont égoïstes, il faut être solidaire du groupe »

Aujourd’hui, l’activité de L’Etudiant se porte très bien, tant mieux pour tous, et il est normal qu’elle contribue à la bonne marche de GER. Ce que nous réclamons, c’est que cette logique de groupe ne s’applique pas seulement à notre encontre pour la réduction des coûts, mais aussi pour assurer le principe : à travail égal, salaire égal. D’autant que nos métiers sont parfaitement comparables dans leur immense majorité.

« Dans d’autres titres aussi, des salariés sont sous-payés »

Nous avons bien conscience que certains ne sont pas mieux lotis que nous, qu’ils soient CDI, CDD ou pigistes. Mais ce n’est pas parce que la situation existe ailleurs qu’on ne doit pas bouger. C’est aussi pour enrayer cette politique du moins-disant salarial que nous nous mobilisons aujourd’hui. Ras le bol de voir entre autres à L’Etudiant de plus en plus de CDD de moins en moins bien payés et des pigistes pas augmentés depuis 2000 pour certains, malgré une exigence croissante de leurs compétences. L’Etudiant doit aussi à leur travail ses résultats florissants.

Les salariés en grève de l’ex-L’Etudiant
Soutenus par la SDJ de L’Etudiant, le SNJ, SUD et FO

Le 15/01/13

130115etudiantGreve.pdf

14 janvier 2013

Salaires à L'Etudiant : la direction ne répond pas

Communiqué des salariés de L'Etudiant réunis en assemblée générale le 8 janvier à midi.

Le mardi 8 janvier 2013

Devant le manque de résultats en 2012 des négociations sur le rattrapage des salaires des ex-l’Etudiant et de leur report sine die en 2013, les ex-salariés de l’Etudiant se sont réunis ce jour en assemblée générale.

Ils continuent de réclamer la mise à niveau de leur salaire par rapport au reste du groupe. Pour cela, comme signal tangible de la direction, ils demandent une augmentation de 300 euros pour les CDI et CDD et de 10 % pour les pigistes dès fin janvier, ainsi que la réouverture des négociations aussi rapidement que possible.

Pour montrer leur détermination, les salariés présents à cette assemblée générale ont voté à la quasi-unanimité pour une grève le mardi 15 janvier, sans réponse positive de la direction à leurs revendications avant cette date.

Les salariés présents à l’assemblée générale,

avec le soutien du SNJ, de SUD et de la société des journalistes de l’Etudiant

07 octobre 2011

Arrêt de travail mardi 11 octobre

Motion votée
à l’unanimité
par l’assemblée générale des salariés de GER

Les participants à l’assemblée générale du 6 octobre 2011, ayant pris connaissance des débats du dernier comité d’entreprise et des récents développements autour de l’avenir de L’Expansion :

  • s’indignent de l’absence de réponses précises apportées par la direction du groupe quant au devenir du mensuel économique et exigent ces réponses. Quatre mois après l’annonce de la décision de procéder à la vente ou à la restructuration du titre, il est inacceptable de laisser les salariés concernés dans une telle incertitude ;
  • refusent que les difficultés d’un journal, dans un contexte de crise de la presse magazine, soient supportées par les seuls salariés à coups de licenciements ;
  • dénoncent la logique purement financière privilégiée par l’actionnaire, qui vise à traiter tout foyer de perte éventuel dans l’entreprise par des suppressions de postes, sans aucune stratégie de développement.

Ils appellent l’ensemble des salariés du groupe, journalistes, cadres et employés, à exprimer avec force leur refus de toute casse sociale à l’Expansion comme ailleurs en cessant le travail et en se rassemblant dans le hall du 23 rue de Châteaudun,
le mardi 11 octobre de 11 heures à 13 heures, veille du comité d’entreprise.

CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD
avec la Société des rédacteurs de L’Expansion,

la Société des rédacteurs de L’Etudiant,
la Société des journalistes de L’Entreprise.

 

111006gerAGmotion.pdf

 

05 octobre 2011

Assemblée générale des salariés le 6 octobre. Continuons à nous mobiliser pour nos emplois !

465 signatures à la pétition !

CONTINUONS À NOUS MOBILISER
POUR NOS EMPLOIS !

Vous avez été 465, soit les deux tiers de l’effectif de GER, à signer la pétition pour la défense de l’emploi à L’Expansion et dans l’ensemble du groupe : merci de votre mobilisation !

Vos élus se sont présentés au Comité d’entreprise le jeudi 29 septembre forts de ce soutien massif. Première surprise : la direction ne s’attendaitmanifestement pas à un tel succès de la pétition. Deuxième surprise : contrairement à ce qu’elle avait laissé entendre, la direction n’avait strictement rien de neuf à communiquer aux élus, alors même que la presse bruisse de rumeurs sur un rachat de L’Expansion.

Ça suffit !

Ce silence et la logique purement financière que la direction et l’actionnaire mettent en œuvre, à L’Expansion comme ailleurs, sont de vraies menaces pour nos métiers. Pour envisager ensemble les actions àmener pour préserver nos emplois, participez à l’

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

DE TOUS LES SALARIÉS,
EMPLOYÉS, CADRES, JOURNALISTES

JEUDI 6 OCTOBRE À 12 HEURES

SALLE JJSS AU 6e ETAGE

Venez nombreux, nos emplois sont en jeu !

Les élus CFDT, CGT et SNJ, les sections FO et Sud,
la Société des rédacteurs de L’Expansion,

la Société des rédacteurs de L’Etudiant,
la Société des rédacteurs de L’Entreprise,
le 5 octobre 2011

 

111005ag.pdf

16 juin 2011

L'Expansion en danger : AG le 17 juin à 11 h

Le 18 mai dernier, la rédaction de « L’Expansion » faisait part de son inquiétude sur la situation du mensuel en votant une motion de défiance envers la direction du magazine. Des craintes confirmées lors d’une rencontre entre la Société des rédacteurs et la direction du Groupe.

Par ailleurs, le comité d’entreprise, réuni le 27 mai, a eu connaissance d’informations préoccupantes quant à l’avenir du titre, qui ont conduit l’ensemble des élus à voter un droit d’alerte sur la situation économique du mensuel et de la marque L’Expansion.

Face à l’urgence d’une situation qui nous concerne tous, et susceptible d’avoir des répercussions sur l’ensemble du Groupe, nous vous invitons à participer nombreux à une réunion d’information.

Assemblée générale

Vendredi 17 juin à 11 heures

salle du sixième étage

SNJ  FO  SUD
16 juin 2011

21 octobre 2010

RTT Assemblée générale vendredi 22 octobre

La direction a présenté un nouveau projet d’accord sur les RTT aux délégués syndicaux.

FO, SUD et le SNJ s’y opposent, et continuent de défendre le maintien de l’intégralité des jours de RTT.

La CFDT et la CGT, qui approuvent les mesures proposées par la direction, s’apprêtent à vous
consulter par référendum.

  •   Quelles conséquences impliquerait un tel accord ?
  •   Comment s’y opposer ?

Aujourd’hui plus que jamais, il est important d’en discuter tous ensemble.

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

Vendredi 22 octobre

au 6e étage, à 13 heures

SNJ  FO  SUD
21 octobre 2010

14 octobre 2010

RTT Rassemblement des salariés vendredi 15 octobre

Après le vote de l'AG de jeudi qui s'est prononcée pour le retrait du projet de la direction

Rassemblement

vendredi 15 octobre

à 10 heures, dans le hall du 23

Pour soutenir les représentants des salariés
présents à la négociation 35 heures

 

SNJ   SUD  FO

13 octobre 2010

RTT Après le référendum Assemblée générale jeudi 14 octobre

Après le référendum

Plus que jamais, pas touche à nos RTT !

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

Jeudi 14 octobre

au 6e étage, à 12h30

Le 7 octobre, 404 salariés de GER (la majorité absolue des effectifs du groupe) se sont prononcés par référendum pour le maintien de l’intégralité de leurs jours de RTT.

Ce vote est un désaveu pour la direction. Que vous ayez participé ou non au scrutin, nous vous proposons de nous réunir en assemblée générale pour décider de nouvelles initiatives.

Encore une fois, nous appelons aussi l’ensemble des organisations syndicales de GER à y participer. Car, si 404 salariés ont voté «oui» au référendum organisé par le SNJ, SUD et FO, 300 salariés ont aussi signé la pétition lancée par la CGT et la CFDT. Cela montre que les salariés veulent défendre leurs RTT, même s’ils ne sont pas forcément d’accord sur la façon de s’y prendre.

Ces forces, nous devons les rassembler. Si les salariés avec leurs organisations syndicales s’unissent, ensemble nous pouvons faire reculer la direction.

Ensemble nous pouvons gagner !

SNJ  SUD
13 octobre 2010


LE RÉSULTAT DU RÉFÉRENDUM

« Êtes-vous pour lemaintien de l’intégralité de vos jours de RTT ? »

404 OUI

13 NON

8 NULS



DERNIÈRE HEURE

Le 8 octobre 2010, nous avons adressé un courrier à la direction en l’informant de ce résultat et lui demandant de recevoir les représentants du SNJ, de SUD et de FO. Elle nous a répondu qu’elle ne considérait pas SUD et FO comme syndicats représentatifs, entendant par là qu’elle ne comptait pas discuter avec tous les syndicats qui ont organisé ce référendum. Quel déni de l'audience obtenue par
ce scrutin !

101013snjsudRtt.pdf

29 mars 2010

Votez SNJ. Défendons tous ensemble nos RTT !

Pas touche à nos RTT !

En septembre 2008, une journée de grève avait contraint GER à reporter la dénonciation des accords 35 heures. La direction avait alors entamé avec les syndicats une négociation qui a rapidement pris la forme d’une discussion sur le nombre de jours de RTT auxquels il faudrait renoncer. Or, négocier sur ces bases revient à gâcher le rapport de forces établi par la mobilisation des salariés.

Le 16 décembre 2008, la direction a fini par dénoncer les accords au mépris des salariés et de leurs représentants : le comité d’entreprise n’a fait connaître son avis qu’une fois les accords déjà dénoncés, et le comité d’hygiène et de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) n’a été ni informé ni consulté.

L'accord devait arriver à échéance fin mars 2010, mais pour mieux imposer ses vues, la direction l'a prorogé jusqu'à fin juin, avant les congés d’été, une période peu propice à la mobilisation. A cet égard, comment peut-on se vanter d'avoir fait reculer la direction au moyen d'une pétition, le 15 février dernier, alors qu'elle envisageait dès le 19 janvier dans un courrier aux représentants des salariés de L'Etudiant, de repousser la négociation des 35 heures ?

Fidèle à la mobilisation des salariés, le SNJ ne négociera pas à la baisse le nombre de jours de RTT en bradant ces acquis contre d’illusoires compensations.
De fin 2001 à fin 2008, le groupe a perdu 138 postes. Depuis, les effectifs ont continué à fondre à la suite des PSE de GER et celui d’Atmosphères en 2009 (70 postes supprimés). Moins de RTT, c’est à coup sûr, travailler plus encore, et subir davantage de pression et de stress. Ensemble et dans l’action, disons qu’il n’est pas question de travailler plus pour compenser les départs non remplacés et l'accroissement de la charge de travail.

Le SNJ souhaite que la mobilisation des salariés se fasse dans la plus large unité du personnel et de ses représentants, sur un mot d’ordre simple, qui était celui des assemblées générales du personnel, fin 2008 et qui reste d'actualité : pas touche à nos RTT !

Le jeudi 1er avril 2010, votez pour les listes présentées par le Syndicat national des journalistes.