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26 mars 2012

Le 12 avril : VOTEZ !

SNJ  SUD

Élections des CE-DP

le 12 avril : VOTEZ !

Dans moins de trois semaines auront lieu les élections de vos représentants du personnel (CE-DP).

Si vous êtes sûr de ne pas être présent dans les locaux le 12 avril, jour du scrutin (pour cause de vacances, de déplacement, de reportage, de rendez-vous extérieur…) ou si vous avez le moindre doute quant à cette éventualité, informez-en par mail ou par courrier les RH (boîte DRH@groupe-exp.com), avant le 28 mars 12 heures, pour pouvoir voter par correspondance. Sinon, vous ne pourrez pas participer au scrutin !

Lors de cette élection, aucun autre moyen que le vote sur place le jour J ou que le vote par correspondance ne sera possible.

Si vous êtes pigiste, sachez que vous êtes inscrit d'office pour participer au vote par correspondance (mais la possibilité vous est laissée de voter sur place si vous le préférez et si vous êtes présent le 12 avril).

Ne laissez pas les autres choisir pour vous : VOTEZ !


Voter, mais pour quoi ?

Votez pour élire pour trois ans :

> Vos représentants au CE (comité d’entreprise).

Leur rôle : défendre vos intérêts face aux décisions que l’employeur envisage de prendre concernant la gestion et l'organisation de l'entreprise, son évolution économique ou financière. Le CE est aussi là pour organiser et développer les activités sociales et culturelles.

> Vos représentants DP (délégués du personnel),

dont le rôle est de faire part à l'employeur de toute réclamation individuelle ou collective en matière d’application de la réglementation du travail (concernant par exemple les salaires, les horaires…)

Pour rappel, ces élus éliront par ailleurs les membres du CHSCT, instance chargée de la protection de la santé et de la sécurité des salariés, et de l’amélioration de leurs conditions de travail.

Autre implication majeure, les élections du 12 avril détermineront la représentativité des syndicats à GER pour les trois prochaines années. En effet, seuls les syndicats dont les listes auront obtenu plus de 10 % des voix seront représentatifs et pourront participer aux négociations des accords collectifs comme la NAO (négo salariales), les droits d'auteur, la GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et compétences)…

Les listes des candidats seront affichées le 28 mars, mais sachez d'ores et déjà que le SNJ et SUD seront bien évidemment présents.

SNJ  SUD

1203 SNJ-SUD Votez !.pdf

25 janvier 2012

Réunion d'information jeudi 26 janvier

Mutualisations, plan de départs volontaires, déménagements...

• A la suite des inquiétudes exprimées par de nombreux salariés, le SNJ, SUD et FO vous invitent à participer à une réunion d’information sur les effets des mutualisations engagées à L’Express et à L’Expansion, et sur leurs conséquences sur les conditions de travail, notamment en raison des déménagements et des réaménagements prévus dans plusieurs services de L’Express, à L’Expansion et à Lire.
• Nous ferons le point sur le plan de départs volontaires de L’Expansion, clôturé depuis le 16 janvier, et sur ses conséquences dans le Groupe.
• Nous parlerons également de l’intégrité des titres menacés par la transformation de L’Expansion en un sous-service de L’Express, et par la volonté de la direction de disposer de journalistes multi-titres à GER, à L’Expansion comme à L’Express, au mépris des contrats de travail des salariés.
• Enfin nous verrons comment empêcher l’instrumentalisation par la direction des instances de représentation du personnel, et notamment du Comité d’entreprise et du Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT), qui doivent rester au service des salariés.

Pour parler de tous ces sujets, le SNJ, SUD et FO vous proposent de participer à une

RÉUNION D’INFORMATION
LE JEUDI 26 JANVIER À 11 H 30
SALLE DU 6e ÉTAGE

SUD  SNJ  FO
le 25 janvier 2012

120125snjsudfoReu.pdf

 

19 janvier 2012

Titres mutualisés, non merci !

SNJ SUD FO

Titres mutualisés,
non merci !

Le SNJ, SUD et FO apportent leur soutien aux journalistes des rédactions techniques de L’Express et de L’Expansion qui ont exprimé, par leurs communiqués, leur refus des mutualisations.

La direction doit renoncer à transformer les salariés en journalistes multi-titres. En effet, la restructuration de L’Expansion est le prétexte à une mutualisation déguisée des journalistes «plume» et à une mutualisation imposée aux rédactions techniques.

Les mutualisations ne sont pas inéluctables : la direction ne peut pas exiger des titulaires d’une carte de presse de collaborer à un autre titre que celui pour lequel ils ont été engagés.

En décembre dernier, le mouvement de grève, très suivi à GER, avait réclamé une rédaction spécifique pour L’Expansion, dont l’identité doit être garantie afin d’assurer sa qualité et sa pérennité.

Dans le groupe, L’Entreprise, Mieux Vivre, Classica ou Lire, des titres aux effectifs réduits (ce que sera bientôt L’Expansion restructuré) disposent d’une équipe rédactionnelle propre. La direction ne doit pas transformer la rédaction de L’Expansion en un simple service, lui-même logé au sein du service Economie de L’Express.

C’est pourquoi le SNJ, SUD et FO exigent une rédaction «plume» et technique 100% dédiée à L’Expansion.


L’Expansion: pour le SNJ, le CE ne peut pas rendre un avis

Lors du dernier Comité d’entreprise, le SNJ s’est opposé aux mutualisations et à la restructuration de L’Expansion, estimant que la consultation du CE, ces derniers mois, avait été conduite dans le mépris du droit du travail, les informations sur le projet de la direction ayant été communiquées oralement et de façon incomplète, sans aucun document de travail sérieux.
Le SNJ a également réclamé, que le CHSCT (Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) soit consulté avant que le CE rende son avis, sur les conséquences de cette restructuration faite à la va-vite, et sur les déménagements qui vont se traduire par davantage de stress et de travail pour tous.
Dans l’intérêt des salariés, le CE et le CHSCT doivent rendre un avis en toute connaissance de cause.
Le SNJ, soutenu par SUD et par FO, exige de la direction qu’elle réponde aux questions et aux attentes des salariés.

SUD  SNJ  FO
le 19 janvier 2012

120119snjsudfolexpansion.pdf

29 mai 2011

CHSCT : la CFDT-CGT prend tous les postes !

Le 27 mai 2011, le CE devait désigner un nouveau membre du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions des travail (CHSCT), après le départ de l'entreprise de Pascal Frasnetti, seul membre SNJ du CHSCT.

Lors de ce CE, alors que le SNJ présentait un candidat, la CFDT-CGT, majoritaire au CE, a choisi de rafler le poste pour l'une de ses élues - déja fort pourvue en mandats.

Se confirme ainsi le sectarisme et l'allergie au pluralisme de la CFDT-CGT que nous avions déjà diagnostiqués à l'issue des dernières élections des représentants du personnel (Au CE, des strapontins pour le SNJ), alors que les salariés avaient manifesté massivement leur volonté d'une plus grande représentation des candidats présentés par le SNJ (Elections DP-CE : le SNJ frôle la majorité).

19 avril 2010

Au CE, des strapontins pour le SNJ

A l’issue des dernières élections, la CGT et la CFDT ont annoncé avoir obtenu ensemble 64 % des voix à GER. Selon leurs calculs, elles « pèsent » chacune 32 % des salariés du groupe. Le SNJ, qui ne peut se présenter que dans le collège journalistes, fait donc jeu égal avec chacun de ces deux syndicats, obtenant à lui seul un tiers des voix dans le groupe. C’est donc en toute logique, et pour des raisons évidentes de pluralisme des instances représentatives du personnel, qu’il a demandé, lors du dernier CE, le 16 avril, que sa représentation au comité d’entreprise tienne compte de ce résultat.

Or le SNJ a été écarté des postes à responsabilité au bureau du CE, la CGT et la CFDT lui proposant en guise de consolation, un poste honorifique de « trésorier adjoint ». Même si le SNJ peut se féliciter de diriger la commission égalité professionnelle, les autres présidences des commissions sont revenues à des élus de la CGT et la CFDT.

Enfin, la CGT et la CFDT revendiquent désormais le secrétariat du Comité d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail (CHSCT), encore sous la responsabilité de Denise Grumel (SNJ) jusqu’au prochain CE fin mai, qui procédera à son renouvellement. A la place, la CFDT et la CGT nous proposent un poste de secrétaire-adjoint, créé pour l’occasion, sans pouvoir réel. L’imminence de la réouverture de la négociation RTT n’y est sans doute pas étrangère, puisqu’un nouvel accord modifiant la durée du travail dans l’entreprise devra être examiné par le CHSCT, avant d’entrer en vigueur. De là à penser que le SNJ risque de géner cette opération s’il « contrôle » le CHSCT...

Secrétaire du CE

Eric Taver (CFDT-CGT)

Secrétaire adjoint

Catherine Denoyelle (CFDT-CGT)

Trésorier

Marie-Adélaïde Moreira (CFDT-CGT)

Trésorier adjoint

Aucun candidat

Conseil de surveillance

Chloé Hecketsweiler (CFDT-CGT), Catherine Pégon (CFDT-CGT), André Spiga (SNJ), Jacques Trentesaux (CFDT-CGT)

Présidence des commissions du CE

Formation Catherine Denoyelle (CFDT-CGT)

Egalité professionnelle Dominique Noblecourt (SNJ)

Logement Hélène Verger (CFDT-CGT)

Oeuvres sociales Christine Boullier (CFDT-CGT)

Gardes d'enfants Nathalie Louis (CFDT-CGT)

Prêt d'honneur Catherine Pégon (CFDT-CGT)

Mutuelle Laurent Vrbica (CFDT-CGT)

29 mars 2010

Votez SNJ. Défendons tous ensemble nos RTT !

Pas touche à nos RTT !

En septembre 2008, une journée de grève avait contraint GER à reporter la dénonciation des accords 35 heures. La direction avait alors entamé avec les syndicats une négociation qui a rapidement pris la forme d’une discussion sur le nombre de jours de RTT auxquels il faudrait renoncer. Or, négocier sur ces bases revient à gâcher le rapport de forces établi par la mobilisation des salariés.

Le 16 décembre 2008, la direction a fini par dénoncer les accords au mépris des salariés et de leurs représentants : le comité d’entreprise n’a fait connaître son avis qu’une fois les accords déjà dénoncés, et le comité d’hygiène et de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) n’a été ni informé ni consulté.

L'accord devait arriver à échéance fin mars 2010, mais pour mieux imposer ses vues, la direction l'a prorogé jusqu'à fin juin, avant les congés d’été, une période peu propice à la mobilisation. A cet égard, comment peut-on se vanter d'avoir fait reculer la direction au moyen d'une pétition, le 15 février dernier, alors qu'elle envisageait dès le 19 janvier dans un courrier aux représentants des salariés de L'Etudiant, de repousser la négociation des 35 heures ?

Fidèle à la mobilisation des salariés, le SNJ ne négociera pas à la baisse le nombre de jours de RTT en bradant ces acquis contre d’illusoires compensations.
De fin 2001 à fin 2008, le groupe a perdu 138 postes. Depuis, les effectifs ont continué à fondre à la suite des PSE de GER et celui d’Atmosphères en 2009 (70 postes supprimés). Moins de RTT, c’est à coup sûr, travailler plus encore, et subir davantage de pression et de stress. Ensemble et dans l’action, disons qu’il n’est pas question de travailler plus pour compenser les départs non remplacés et l'accroissement de la charge de travail.

Le SNJ souhaite que la mobilisation des salariés se fasse dans la plus large unité du personnel et de ses représentants, sur un mot d’ordre simple, qui était celui des assemblées générales du personnel, fin 2008 et qui reste d'actualité : pas touche à nos RTT !

Le jeudi 1er avril 2010, votez pour les listes présentées par le Syndicat national des journalistes.

19 mars 2010

SNJ : le vote efficace pour vous défendre !

Depuis les dernières élections, en avril 2008, vos représentants du SNJ, élus au CE, au CHSCT et délégués du personnel, ont défendu sans relâche les intérêts des salariés. Et ces deux années ont été particulièrement agitées.

Sur les plans éditorial, managérial et financier, la crise a rendu plus dures encore les méthodes Roularta : le bien mal nommé Plan de sauvegarde de l’emploi a fait disparaître une soixantaine de postes en février 2009. La très grande majorité des partants n’a pas été remplacée. Côté direction, le bricolage et l’improvisation ont été la règle, dans le management des équipes comme dans la stratégie d’entreprise. L’austérité salariale, la dégradation des conditions de travail, le stress, la baisse de qualité des titres, l’abus de stagiaires... tout cela a continué.

Autres faits marquants : la dénonciation de l’accord 35 heures, la liquidation d’Atmosphères, la mise sous tutelle de L’Expansion, dont la direction a été décapitée, le démantèlement de la documentation...

La « roulartisation » s’est poursuivie : la tendance au low cost, sur le modèle mis en place par Roularta en Belgique, a gagné du terrain : compétences et qualifications remises en question, collaboration accrue au Web sans concertation ni rémunération supplémentaire, « taylorisation » des tâches.

Enfin, après celles de Point de Vue, de Mieux Vivre et de Studio-Ciné Live, la fusion annoncée de L’Etudiant avec GER promet là aussi de s’accompagner de nombreuses destructions d’emplois.

Pigistes : le SNJ aux avant-postes

Au cours de leur mandat, les élus du SNJ ont bataillé pour défendre les pigistes dans les instances représentatives du personnel, au comité d’entreprise comme lors des réunions mensuelles des délégués du personnel du Groupe Express-Roularta. Ils se sont faits les porte-parole auprès de la direction de celles et de ceux dont le montant des piges avait subi une diminution notable, ou dont la collaboration avait été brutalement arrêtée, obtenant pour plusieurs d’entre eux de justes indemnités.

Avec FO, le SNJ a obtenu que les pigistes puissent être électeurs et éligibles sans condition de revenus pour ces élections des représentants du personnel. Si les pigistes peuvent voter aussi nombreux cette année, c’est aussi grâce aux négociations du SNJ menées sur un plan national.

A GER, nous continuons de réclamer l’application de la prime d’ancienneté pour les pigistes (conformément aux accords GER et au jugement de novembre 2009 sur le protocole d’accord national) et l’application aux pigistes des hausses de salaires collectives. De même nous demandons un barème de piges digne de notre entreprise et l’amélioration du droit à la formation.

Enfin, sur le plan national, le SNJ se bat aussi pour défendre les droits des pigistes dans toutes les rédactions et les instances de négociation paritaires. Le SNJ et FO ont ainsi fait condamner en justice, en novembre 2009, plusieurs des dispositions du protocole d’étape, remettant en question les droits des pigistes, signé notamment par la CFDT. Ce texte doit être renégocié pour renforcer les bases incontestables des droits légaux, conventionnels et statutaires des journalistes pigistes.

En votant nombreux pour nos candidates et nos candidats, vous aiderez les élus du SNJ à mieux défendre vos droits.

Pas touche aux RTT !

Fin 2008, la direction s’est attaquée aux accords 35 heures. Face à la forte mobilisation des salariés, elle d’abord reculé, puis a fini par les dénoncer au mépris des représentants des salariés : le comité d’entreprise n’a donné son avis qu’une fois les accords déjà dénoncés, et le comité d’hygiène et de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) n’a été ni informé ni consulté, comme le prévoit la loi.

Dernier cadeau empoisonné de la direction : repousser à fin juin l’échéance de l’accord RTT pour mieux imposer ses vues, loin des élections, avant les congés d’été, une période peu propice à la mobilisation. A cet égard, comment peut-on se vanter d’avoir fait reculer la direction alors que celle-ci avait prévu, dès le 19 janvier, dans un courrier à L’Etudiant, de repousser la négociation des 35 heures ?

Le SNJ n’a pas changé de position : fidèle à la mobilisation des salariés, il ne négociera pas à la baisse le nombre de jours de RTT en bradant ces acquis contre d’illusoires compensations.

Stress à tous les étages

Le PSE de février 2009 et la fermeture d’Atmosphères ont encore aggravé la situation de l’emploi dans le groupe, affaibli par la perte
de 138 postes de travail depuis fin 2001. Des équipes désorganisées, une charge de travail en hausse pour les restants : la dégradation des conditions de travail a engendré du stress à tous les étages, constaté aussi par la médecine du travail. Le SNJ veut qu’il soit mis fin à cette situation dont la direction est responsable. Un plan de prévention des risques psychosociaux, réclamé par le CHSCT, est déjà engagé avec la direction, et un diagnostic a été demandé à l’Aract (Association régionale pour l’amélioration des conditions de travail).

Convergences print/web : danger

Le SNJ exige le volontariat pour le travail multi-support (Web et papier) : personne ne doit y être contraint. Le SNJ réclame aussi des moyens : à travail supplémentaire, effectifs supplémentaires, et rémunération supplémentaire. Selon la loi, le journaliste professionnel est attaché à un titre : nul ne peut donc être contraint de collaborer à plusieurs titres. C’est sur ces bases que le SNJ participera à une éventuelle négociation, alors que la direction tente de passer en force.

« Passerelles », mutualisations : stop!

L’identité éditoriale, l’indépendance et le savoir-faire des équipes rédactionnelles doivent être respectés. C’est pourquoi le SNJ s’oppose aux mutualisations de services et aux « passerelles » entre titres. Ecrire pour le papier et le Web, réaliser des vidéos, faire des photos, transformer des secrétaires de rédaction en correcteurs, des rédacteurs en documentalistes... Il n’est pas possible, sous prétexte d’« agilité numérique », de tout faire, au risque de tout faire mal. Il est suicidaire de mettre en péril la qualité de nos titres et de nos sites, alors que c’est justement ce pour quoi nos lecteurs sont prêts à payer.

Pour une vraie politique salariale

Depuis 2002, la direction ne garantit plus de hausse des salaires collective au moins égale à l’inflation et distribue des primes et des augmentations individuelles dans l’opacité. Le SNJ réclame la fin de ces pratiques à la tête du client et demande une politique salariale privilégiant les hausses collectives, la réduction des inégalités entre hommes et femmes, la revalorisation des salaires d’embauche et des piges. Lors de la négociation 2010, le SNJ a réclamé 100 euros pour tous. La réponse de la direction a eu le mérite de la clarté : zéro euro.

Des entraves à répétition

La direction n’a cessé de montrer son mépris des institutions représentatives du personnel en multipliant les délits d’entrave : réunions des délégués du personnel non convoquées, comité d’entreprise et CHSCT informés alors que les décisions sont déjà prises, « arrangements » hors des réunions officielles... Ces pratiques détestables doivent cesser. Les instances représentatives du personnel doivent être au service de la mobilisation des salariés et non pas être utilisées pour la contrecarrer.

Libérez la messagerie!

La direction refuse le libre accès de la messagerie aux syndicats. Elle leur accorde 6 messages chacun durant les 15 jours de campagne : le SNJ réclame sa totale liberté d’utilisation. Nous devons pouvoir communiquer aux salariés sur un pied d’égalité avec la direction.

Le SNJ, premier syndicat de journalistes

Le Syndicat national des journalistes (49,59 % des voix aux dernières élections à la Commission de la carte, un score obtenu face à six listes concurrentes) est le plus présent dans les entreprises de presse, les négociations et les instances nationales où sont défendus les droits et intérêts des journalistes. Il met à leur disposition, qu’ils soient syndiqués ou non, des permanences (juridique, emploi, pigistes, etc.) et de nombreux services pratiques ainsi qu’un site Internet : www.snj.fr

• Le blog du SNJ de GER : http://snjexpress.hautetfort.com

• SNJ 33, rue du Louvre, 75002 Paris. Tél. : 01 42 36 84 23

 

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25 février 2010

Soufrance au travail : Express-Roularta dans la “liste rouge”

Selon la Correspondance de la presse (23 février 2010), le groupe Express-Roularta est stupéfait de constater qu'il figure dans la liste rouge gouvernementale des risques psychosociaux (voir aussi Débat public : “Souffrance au travail chez les journalistes”)

Rassurons-nous : le ministère du Travail a retiré “de son site internet les listes des entreprises mal notées en matière de prévention du stress au travail” (AFP).

GER avance que “le questionnaire envoyé par le Ministère du Travail n'a jamais été reçu”. Contacté par GER, le ministère “a reconnu son erreur et nous a indiqué qu'il avait décidé de retirer le groupe de sa liste rouge.” Laquelle a de toute façon disparu...

Par ailleurs, GER insiste sur ses efforts quant à la “problématique du "stress au travail"” :

  • “priorité du CHSCT” (instance de représentation du personnel, ce n'est donc pas la direction qui en détermine seule l'ordre du jour...),
  • “formation spécifique”,
  • “plan d'action”,
  • “contact avec l'ARACT (association régionale pour l'amélioration des conditions de travail)”...

Diable ! Pourquoi ce déploiement, s'il n'y a pas de problème ?

00:05 Publié dans Presse | Tags : conditions de travail, chsct