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18 juin 2015

Clause de cession : 2e réunion d'information

Clause de cession
Séance de rattrapage !
Vous avez des questions ?
Réunion d’information
le lundi 22 juin à 19 h
au SNJ, 33 rue du Louvre 75002 Paris
(au fond de la cour 6e étage)

LES POINTS QUE NOUS ABORDERONS
Qui est concerné ? / Quand la clause est-elle ouverte ? / Comment la faire valoir ? / Doit-on motiver sa décision ? / Doit-on effectuer un préavis ? / Que se passe-t-il pour le journaliste qui a plus de 15 ans d’ancienneté ? / Quelles indemnités ? / Peut-on bénéficier d'une formation ?...

Vos délégués SNJ : André Spiga (4339) Dominique Noblecourt (1780) Eric Marquis (1384)

150616snjClause.pdf

01 juin 2015

Clause de cession : réunion d'information

Clause de cession

Vous avez des questions ?

Réunion d’information

le jeudi 4 juin à 19 h

au SNJ, 33 rue du Louvre 75002 Paris


LES POINTS QUE NOUS ABORDERONS

Qui est concerné ? / Quand la clause est-elle ouverte ? / Comment la faire valoir ? / Doit-on motiver sa décision ? / Doit-on effectuer un préavis ? / Que se passe-t-il pour le journaliste qui a plus de 15 ans d’ancienneté ? / Quelles indemnités ? / Peut-on bénéficier d'une formation ?...

150529snjClause.pdf

20 novembre 2014

Cotisations sociales : attention danger

Journalistes, ne vous laissez pas abattre !

Sans en préciser l’exacte portée et le réel danger, la direction du Groupe Express demande aux journalistes d’opter, avant le 31 décembre prochain, pour ou contre un abattement sur leurs cotisations sociales.

La direction a intérêt à ce que vous choisissiez l’abattement car dans ce cas elle en fait autant sur les cotisations patronales.



Le SNJ vous recommande de refuser l’abattement

Si vous acceptez l’abattement, vous aurez demain des couvertures maladie et retraite gravement amputées



En cotisant à la Sécurité sociale à 100 %

,
vous protégez vos droits

Lire ici Cotisations sociales : attention danger (2013), Cotisations sociales : attention danger (2012).

Pour en savoir plus, voir sur le site du SNJ Une déduction déconseillée par le SNJ, Les cotisations à la Sécurité Sociale.

15 novembre 2013

Cotisations sociales : attention danger

Cotisations sociales : attention danger

Journalistes, ne vous laissez pas abattre !

Sans en préciser l’exacte portée et le réel danger, la direction du Groupe Express demande aux journalistes d’opter, avant le 31 décembre prochain, pour ou contre un abattement sur leurs cotisations sociales.

La direction a intérêt à ce que vous choisissiez l’abattement car dans ce cas elle en fait autant sur les cotisations patronales.



Le SNJ vous recommande de refuser l’abattement



  • Tout d’abord, ce que la direction se garde bien de préciser, c’est que des cotisations diminuées entraînent des prestations et pensions diminuées.
  • Au surplus, le Groupe Express Roularta applique l’abattement de façon extensif sur les retraites complémentaires contrairement à la réglementation et aux pratiques de la quasi-totalité des autres entreprises de presse.



Ainsi, si vous acceptez l’abattement, vous aurez demain des couvertures maladie et retraite gravement amputées



En cotisant à la Sécurité sociale à 100 %

,
vous protégez vos droits


PS. L’abattement social n’a rien à voir avec l’allocation fiscale annuelle de 7650 euros.

Pour en savoir plus : voir sur le site Internet du SNJ la rubrique « Cotisations sociales ».

07 décembre 2012

Restons vigilants quand la direction nous attaque les uns après les autres

Point info n° 2
SNJ SUD
Le 06/12/12

Un point sur ce qui s’est passé ces derniers mois à GER : restons vigilants à l’heure où la direction, obsédée par la réduction des coûts, nous attaque les uns après les autres.

✖ L’EXPRESS

Réorganisation sans consultation

Le directeur de la rédaction de L’Express a présenté au CE les grandes lignes de son plan de réorganisation de la rédaction, appelée à travailler davantage pour le Web. Sud et le SNJ considèrent, contrairement aux autres élus, qu’une information-consultation est le seul moyen d’obliger la direction à entrer dans les détails des changements que ce plan va entraîner, tant pour les équipes de L’Express que pour celles des sites affiliés. Ne pas être à même de juger toutes les implications d’une telle réorganisation, c’est, pour les représentants du personnel au CE, renoncer à défendre au mieux les intérêts des salariés.

✖ STUDIO CINELIVE

Alerte lancée

Le 10 octobre, la direction a annoncé qu’elle comptait se passer immédiatement de toute contribution des pigistes (une dizaine), instituer 10 numéros par an au lieu de 11, et qu’elle envisageait une réorganisation. Alertés, les élus du CE ont obligé la direction à geler son projet, et à ouvrir une négociation : si la mise en place du numéro double est actée, le manque à gagner des pigistes serait compensé par plus de contributions aux hors-série et les CDI verront leur prime annuelle (un temps menacée) intégrée à leur salaire. L’accord est en en passe d’être signé. Prochaine étape : discussion au CE du projet de réorganisation du titre.

✖ L’EXPANSION

Démembrement effectué

Depuis le 3 octobre, alors même que la consultation au CE et au CHSCT sur l’organisation de la rédaction technique n’est pas achevée, l’équipe, déjà amputée de la moitié de ses effectifs, a été déménagée et éparpillée dans les différents services de L’Express. Résultat : une production désorganisée et des conditions de travail dégradées mettant en péril la réalisation du titre, des salariés malmenés et leur travail déconsidéré. La direction reste sourde aux problèmes et veut mener jusqu’au bout son projet d’imposer aux SR, réviseurs et rédactrices graphistes de travailler aussi pour L’Express. Lors de sa dernière réunion, des membres du CHSCT ont demandé l’intervention d’un expert.

La négo, ou comment enterrer les problèmes

Ouverte en juin en vue de remplacer l’ancien accord (arrivé à échéance le 12/06), la négo sur les droits d’auteur en est à sa 6e réunion (soit 5 mois de vide juridique). Au bout d’une dizaine de réunions, la GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) commence seulement à entrer dans le vif du sujet. Concernant la négociation annuelle sur les salaires (NAO) de l’Etudiant, après 3 réunions, la direction vient d'annoncer qu'elle est remise à plus tard pour être traitée dans le cadre de la NAO de GER, pour laquelle aucune date n'a encore été fixée (rappelons que celle-ci doit avoir lieu chaque année, dans un délai d’un an à compter du début de la précédente négociation annuelle obligatoire). Dans le même temps, alors que les élus au CE dénoncent l’abus de CDD d’usage pour occuper des postes qui devraient être en CDI, la direction annonce l’ouverture d’une négociation de plus… La négo ou la nouvelle façon pour la direction de GER d’enterrer les problèmes.

À suivre aussi

L’ENTREPRISE. Au CE du 22 juin, la direction tirait la sonnette d’alarme en annonçant des chiffres inquiétants. Pas de nouvelle depuis, mais des salariés laissés dans l’inquiétude.

LES ÉDITIONS GER-L’ETUDIANT. Une équipe chamboulée, des départs, aucune explication, aucune information : la direction a-t-elle un projet face à cette situation préoccupante ?

POINT DE VUE. La direction a annoncé de manière officieuse l’externalisation de deux hors-série jusqu’ici produits en interne ainsi que la diminution des astreintes du week-end. À la demande des élus Sud et SNJ, le sujet était à l’ordre du jour du CE du 30/11.

WEB DE L’EXPRESS-L’EXPANSION. Une consultation est actuellement menée au CE et au CHSCT (qui a rendu un avis négatif sur le projet) pour étaler les horaires des journalistes du service Web de 8 heures à 22 heures. Le tout sans embauche et alors que ces salariés connaissent déjà des conditions de travail difficiles.

Le saviez-vous ?

L’ACCORD SENIOR prend fin le 31 décembre prochain. En 2013, il ne sera plus obligatoire dans les entreprises. Peu de chances qu’il soit donc renouvelé à GER. Il vous reste un mois pour en profiter…

DEPUIS PLUS DE 6 MOIS, le poste d’infirmier(e), pourtant imposé par la loi, est vacant à GER.

DANS LE CADRE DE L'ACCORD SUR L'ÉGALITÉ HOMMES-FEMMES, 21 rédactrices et 32 rédactrices techniques – dont le salaire est inférieur au salaire moyen H/F du métier concerné – ont eu en novembre un réajustement salarial. Si vous êtes concernée, vérifiez sur vos fiches de paie que la rétroactivité à avril 2012 a bien été effectuée.

LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL n’est pas une fatalité. La loi protège les salariés. Si vous en êtes victime ou témoin, n’hésitez pas aller voir vos DP.

FIN DE L’ACCORD RTT L’ETUDIANT : dès janvier, les salariés de l’Etudiant passeront sous le régime GER avec grands regrets…

JOURNALISTES, NE VOUS LAISSEZ PAS ABATTRE !

Chaque année, comme l’oblige la loi, la direction demande aux journalistes d’opter, avant le 31 décembre, pour ou contre un abattement sur leurs cotisations sociales. Nous vous recommandons de le refuser. Si vous l'acceptez, vous aurez demain des couvertures maladie et retraite gravement amputées. D'autant que GER étend cet abattement aux retraites complémentaires, contrairement à la réglementation et aux pratiques de la quasi-totalité des autres entreprises de presse.

TractSNJ-SUD5-12-12 .pdf

20 novembre 2012

Cotisations Sociales : attention danger !

Cotisations Sociales : attention danger !

Journalistes, ne vous laissez pas abattre !

Sans en préciser l’exacte portée et le réel danger, la direction du Groupe Express demande aux journalistes d’opter, avant le 31 décembre prochain, pour ou contre un abattement sur leurs cotisations sociales.

La direction a intérêt à ce que vous choisissiez l’abattement car dans ce cas elle en fait autant sur les cotisations patronales.



Le SNJ vous recommande de refuser l’abattement



Tout d’abord, ce que la direction se garde bien de préciser, c’est que des cotisations diminuées entraînent des prestations et pensions diminuées.

Au surplus, le Groupe Express Roularta applique l’abattement de façon extensif sur les retraites complémentaires contrairement à la réglementation et aux pratiques de la quasi-totalité des autres entreprises de presse.

La direction écrit que

l’abattement est appliqué sur les bases de cotisations URSSAF ET retraites

FAUX : la réglementation porte sur certaines cotisations Sécurité sociale (Urssaf)  plus  la cotisation logement (FNAL) et le versement transport

l'option s'exerce à la fois pour les cotisations d'assurance maladie et de retraite et qu'il n'est pas possible de dissocier les deux

FAUX

1) Face au déficit de la Sécurité sociale, les cotisations maladie abattues sont dans le collimateur de plusieurs caisses,

2) la dissociation avec la retraite Sécurité sociale est admise par les deux autres régimes dits complémentaires gérés par l’Agirc et l’Arrco.



Ainsi, si vous acceptez l’abattement, vous aurez demain des couvertures maladie et retraite gravement amputées



La direction met en avant l’accord de 2004, texte très flou, signé par tous les syndicats à l’époque, sur la base d’informations erronées de la direction. Or, pendant trois ans, la direction a appliqué l’abattement sans demander leur avis aux salariés. Ces sommes « économisées » doivent être remboursées !

C’est parce que le SNJ a tiré la sonnette d’alarme que la direction a mis en place la consultation annuelle des salariés concernés.

Elle a aussi signé avec la CFDT et la CGT un accord sur une retraite par capitalisation » confiant de la sorte l’avenir de ces pensions à une banque !

Le SNJ, FO et la CFTC ne l’ont pas signé.

Le SNJ défend la retraite par répartition, garantie par l’Etat et gérée paritairement (salariés-employeurs), où chacun cotise pour tous, et qui permet de bénéficier de points retraite pendant les périodes de chômage.


La capitalisation, c’est le chacun pour soi. Au surplus la récente crise financière a mis en lumière que la retraite par capitalisation revient à jouer sa retraite dans une bourse en sérieux déclin
 !

Les journalistes n’ont rien à gagner avec la capitalisation, à l’inverse de la direction qui continuera à réaliser des « économies » sur la masse salariale.

En cotisant à la Sécurité sociale à 100 %

  vous protègez vos droits

Pour en savoir plus : voir sur le site Internet du SNJ la rubrique « Cotisations sociales ».

 

PS. L’abattement social n’a rien à voir avec l’allocation fiscale annuelle de 7650 euros.

Lire sur ce blog Cotisations : Journalistes, ne vous laissez pas abattre !

03 février 2012

Communiqué des rédactions techniques de L'Express et de L'Expansion

Communiqué des rédactions techniques de L'Express et de L'Expansion

Réunis le jeudi 2 février 2012, les journalistes des plateaux techniques de L’Express et de L’Expansion, ayant pris connaissance du projet de la direction d’un avenant à leur contrat de travail réitèrent leur refus de la mutualisation, réaffirment leur attachement au titre auquel ils collaborent et s’opposent à ce projet de modification de leur contrat de travail.

Le 3 février 2012

18 janvier 2012

Communiqué de la réalisation de L'Expansion

Communiqué de la réalisation de L'Expansion

Les journalistes de la réalisation de L’Expansion (photo, maquette, révision et SR), réunis ce mercredi 18 janvier, apportent leur total soutien à l’équipe du plateau technique de L'Express, qui refuse de devoir faire des pages de L'Expansion, en plus de travailler sur L'Express et ses déclinaisons.
Nous refusons, nous aussi, d’être mutualisés avec la rédaction technique de L’Express et de travailler pour un autre titre que celui qui nous emploie, afin de nous consacrer entièrement à la réalisation du nouvel Expansion. Nous demandons le maintien d’une équipe dédiée pour L’Expansion, « plumes » et techniques travaillant dans une même rédaction, comme c’est le cas aujourd’hui.

Le 18 janvier 2012

16 janvier 2012

Communiqué des journalistes des services techniques de la rédaction de L’Express

Communiqué des journalistes des services techniques de la rédaction de L’Express (maquette, photo, révision et SR)


Ayant pris connaissance de la décision de la direction du groupe de maintenir son projet de mutualiser les services techniques des rédactions de L’Expansion et de L’Express, les journalistes du plateau technique de L’Express, réunis le vendredi 13 janvier et le lundi 16 janvier, sans leurs chefs de service, réitèrent leur refus d’une mutualisation avec les services techniques de la rédaction de L’Expansion, réaffirment qu’ils n’accepteront aucune charge de travail supplémentaire et qu’ils soutiennent les journalistes de la rédaction technique de L’Expansion dans leur volonté de voir se mettre en place un service technique de la rédaction de L’Expansion autonome et dédié, comme cela a été acté officiellement pour la rédaction écrivante.

Le 16 janvier 2012

05 janvier 2011

RTT : Pourquoi le SNJ n’a pas signé

Nouvel accord 35 heures

Pourquoi le SNJ n’a pas signé

Voici la déclaration du Syndicat national des journalistes faite lors du Comité d’entreprise de GER du 4 janvier 2011, contre l’avis positif rendu par le CE sur le nouvel accord 35 heures.

Avec la signature de ce nouvel accord 35 heures, la disparition programmée des RTT va donc commencer à GER. Et l’introduction de forfaits-jours pour les cadres dans cet accord est lourd de menaces pour tous les salariés.
Alors que rien dans la situation économique de GER ne le justifiait, cet accord va compenser les jours de RTT supprimés par une prime annuelle, en transformant la plupart des jours de RTT, jusqu’ici choisis, en congés subis.
Ce projet complexe et inégalitaire, qui compense financièrement davantage les plus hauts salaires, et qui oublie les temps partiels et les CDD, crée plusieurs catégories de salariés. Il va aussi aggraver les contraintes subies par l’ensemble du personnel.
Les collaborations des pigistes et des CDD vont diminuer, tandis que la charge de travail des CDI risque de s’alourdir, avec son cortège de stress, de mal-être au travail et de dégradation des conditions de travail et de la qualité. Enfin, cet accord fait planer la menace d’un nouveau blocage des salaires et des embauches pour compenser d’un côté ce qui a été lâché de l’autre.

Plus grave encore:

  • Cet accord est discriminatoire à l’égard des «nouveaux entrants» (dont feront partie les CDD d’usage) : ils travailleront plus de 35 heures pendant 3ans. Leurs heures supplémentaires ne seront pas compensées avant le 1er janvier 2014. Rien dans l’accord ne prévoit de leur payer ces jours de travail supplémentaires. Ce sera notamment le cas des salariés de Job-Rencontres, injustement considérés comme «nouveaux entrants» à GER.
  • Les cadres auront une compensation des RTT au rabais, puisque la majoration de 33% prévue par leur convention collective n’est pas respectée.
  • Rien ne garantit aux salariés que la prime liée aux heures supplémentaires sera à l’avenir défiscalisée et non soumise aux cotisations sociales puisqu’elle s’appuie sur la loi Tepa (instituant notamment le fameux bouclier fiscal), une loi aujourd’hui en sursis.
  • Une convention en «forfaits jours» est imposée aux 43 membres du «management élargi» par la signature d’avenants individuels. Seront également concernés les cadres embauchés à partir du 1er janvier 2011. Les managers vont donc subir une pression supplémentaire sans aucune compensation. Il faut signaler que ce point clef n’a jamais été discuté en séance au cours des négociations. D’ailleurs, sur cette question, le texte proposé à la signature n’est pas celui sur lequel les salariés de GER ont été invités à s’exprimer par voie de référendum le 16 novembre dernier.

Bien sûr, cet accord aurait pu être encore plus défavorable aux salariés sans leur mobilisation et sans les actions menées avec eux par le SNJ, SUD et FO. Au cours des deux années passées, nous avons multiplié communiqués, rassemblements, assemblées générales, recours judiciaires pour expliquer les dangers de ce projet d’accord.
Enfin, nous avons organisé un référendum pour défendre le maintien intégral des RTT, approuvé par plus de 400 salariés.
Nous ne doutons pas que cette force de pression a fait avancer la négociation.
Nous remercions celles et ceux qui se sont mobilisés à nos côtés: 331 salariés (soit plus de 40% des effectifs de GER) se sont abstenus ou ont voté contre ce projet d’accord, malgré les moyens mis en oeuvre par ses partisans pour le faire aboutir.
Lors des prochaines négociations – sur les salaires, sur l’égalité hommes-femmes, sur le multimédia – le SNJ ne négociera pas à la baisse et appelle les salariés à le rejoindre dans l’action pour défendre des acquis sérieusement menacés.

SNJ, 4 janvier 2011

Tract RTT SNJ 04-01-2011.pdf

07 décembre 2010

Cotisations : Journalistes, ne vous laissez pas abattre !

 

La direction demande aux journalistes d’opter avant le 31 décembre pour ou contre un abattement sur leurs cotisations sociales.

Comme l'année dernière, le SNJ vous recommande de refuser l’abattement.

Lire Journalistes, ne vous laissez pas abattre !

19:17 Publié dans Tract | Tags : retraite, cotisations sociales

15 juin 2010

Non à la casse des RTT !

LE 1ER JUIN, LE SNJ AVAIT ASSIGNÉ LE GROUPE EXPRESS-ROULARTA EN JUSTICE afin de manifester son refus de la remise en question de l’accord 35 heures. En effet, la direction n’a pas respecté toute la procédure d’information et de consultation du comité d’entreprise. Le Tribunal de grande instance de Paris vient de rejeter notre demande. Nous nous réservons la possibilité de faire appel de cette décision.

En attendant, le SNJ confirme son engagement auprès des salariés de GER : il se bat par tous les moyens pour le maintien du nombre de jours de RTT comme pour le respect des instances de représentation du personnel.

Pour le SNJ, une « négociation » sur la base d’une réduction du nombrede jours de RTT n’est pas acceptable. Le Groupe a déjà réalisé d’énormes gains de productivité tout en diminuant de façon drastique la masse salariale.

Depuis deux ans, les salariés de GER ont subi :

  • 84 licenciements (PSE de GER et d’« Atmosphères » en 2009) ;
  • la suppression ou le non-remplacement de nombreux postes ;
  • la hausse de la charge de travail dans tous les services ;
  • la mutualisation des tâches, les contrats-Groupe et autres « passerelles » entre « print » et Web ou entre titres ;
  • le quasi-blocage des salaires depuis plusieurs années...

Dans ces conditions, dénoncer les 35 heures et liquider tout ou partie des RTT, c’est s’attaquer à l’un de nos acquis les plus essentiels. En raison du stress dû à la dégradation des conditions de travail, priver les salariés d’un temps de récupération devenu indispensable aura des conséquences désastreuses sur la santé de tous en aggravant le ras-le-bol et la démotivation.

Nous sommes conscients des difficultés de la presse, mais une telle mesure n’apportera rien aux finances du groupe et elle sera comprise comme un geste d’hostilité à l’égard de tous les personnels.

Nous invitons les salariés et les organisations syndicales de GER (y compris celles de L’Etudiant) à dire non à la casse des RTT et à l’augmentation du temps de travail.


Le Syndicat national des journalistes, le 15 juin 2010

06 mai 2010

RTT : le SNJ assigne GER en justice

LE SNJ A ASSIGNÉ AUJOURDHUI LA DIRECTION DE GROUPE EXPRESS-ROULARTA EN JUSTICE afin de démontrer la nullité de la dénonciation du protocole d’accord relatif à l’aménagement et à la réduction du temps de travail, en vigueur depuis 1999.

Car, selon nous, la dénonciation de l’accord 35 heures est illégale.

Le 15 décembre 2008, la direction dénonçait cet accord sans attendre l’avis du comité d’entreprise. Ce n’est que trois semaines plus tard, le 9 janvier 2009, que le CE rendait un avis négatif sur cette dénonciation.

Or, selon la loi, le CE aurait dû rendre cet avis avant que l’accord ne soit dénoncé.

La dénonciation de cet accord n’est donc pas valable.

Sa renégociation n’a pas d’objet et nous demandons sa suspension le temps que la justice se prononce sur notre demande.

Si le juge nous donne raison, l’accord 35 heures reste valable et les salariés en bénéficieront au moins jusqu’à la mi-2011.

Nous demandons à la CGT, à la CFDT et à FO de se joindre à notre action afin de défendre ensemble l’intérêt des salariés, et aussi pour signifier à la direction de GER qu’elle doit respecter les institutions représentatives du personnel.

Fidèle à la mobilisation et aux exigences des salariés, qui ont notamment fait grève pour la défense des RTT, le SNJ refuse une négociation basée sur les exigences de la direction : la diminution du nombre de jours de RTT.

Alors que les salariés subissent excès de stress, pénurie d’effectifs et de moyens, austérité salariale et absence de vraie stratégie éditoriale, à l’occasion de ce recours judiciaire, exigeons, tous ensemble, qu’aucun jour de RTT ne soit supprimé.

100506rtt.pdf 

31 mars 2010

Votez SNJ. Avec le SNJ, vos droits ne sont pas bradés

Avec le SNJ, vos droits ne sont pas bradés

Pour une vraie politique salariale

Le SNJ demande une politique salariale privilégiant les hausses collectives, la réduction des inégalités entre hommes et femmes, la revalorisation des salaires d’embauche et des piges.
La pratique des primes et des augmentations individuelles distribuées dans l'opacité doit cesser.
Au lieu d’augmenter les salaires, la direction donne la priorité aux rémunérations fondées sur les résultats de l'entreprise (intéressement, participation). Elle veut aussi créer un Perco, un plan d'épargne retraite bénéficiant surtout aux plus hauts salaires dont les retraites privées, confiées à une banque et à la Bourse, seraient subventionnées par un abondement de l’entreprise. Or, 
ces expédients sont aléatoires
ils encouragent la recherche de profits financiers à court terme, donc les suppressions d’emploi, l’austérité et l'aggravation des conditions de travail ;
ils creusent les déficits des régimes sociaux (retraites, maladie, etc.) puisqu’ils sont soumis à des cotisations sociales allégées.
C'est pourquoi le SNJ n'a pas signé l'accord d'intéressement, en 2007, qui accorde 5 % du résultat d’exploitation de GEE aux salariés et 95 % à l’actionnaire, et n'est pas favorable à la création d'un Perco.

Oui a une retraite à 100 %

La direction a fait cotiser les journalistes à 70 % au lieu de 100 % sur les retraites complémentaires, à l’inverse de ce qui se pratique dans l’écrasante majorité des entreprises de presse. Résultat : des économies pour GER et des retraites amputées pour les salariés. Dès 2006, les élus SNJ ont exigé que, comme le prévoit la loi, chaque journaliste puisse choisir ou pas l’abattement. D’autres syndicats ont préféré signer un accord qui entérine cet état de fait, et va encore plus loin, puisqu’un régime d’assurance privée a été mis en place avec la Société générale. Pour éviter les mauvaises surprises, le SNJ vous recommande de choisir de cotiser à 100 %.

Un plan « seniors » allégé en emplois

La loi obligeait les entreprises à présenter un plan sur l'emploi des « seniors » ou bien à signer avec les syndicats un accord sur cette question avant le 31 décembre 2009. Or, le texte soumis à la signature à GER n'implique de la part de la direction aucun engagement, notamment en termes d’emplois. Ainsi, les temps partiels proposés aux « seniors » ne sont aucunement compensés par des renforts. La signature syndicale revient donc à entériner les sous-effectifs, ce qui explique pourquoi le SNJ n'a pas signé.

La stratégie du passage en force

A plusieurs reprises, la direction a pratiqué l’« intox », prétendant imposer aux salariés des décisions illégales.
Ainsi, fin 2008, un message de la DRH a réclamé aux journalistes une « demande d'autorisation » préalable avant toute collaboration extérieure. Or la convention collective des journalistes parle juste d’une « déclaration ».
Elle a également adressé, en février dernier, une mise au point concernant les notes de frais qui a légitimement suscité l’émotion à GER. Par exemple, on pouvait y lire que les horaires de nuit commencent à 22 heures, alors qu'ils débutent à 21 heures selon toutes les conventions collectives des salariés du groupe.
A chaque fois, le SNJ est intervenu en comité d'entreprise pour contester ces coups de force. Mais on attend toujours que la direction communique pour rectifier ses annonces.
C’est pourquoi nous demandons la libre utilisation de la messagerie par les organisations syndicales afin de pouvoir communiquer aux salariés sur un pied d'égalité avec la direction.

Le jeudi 1er avril 2010, votez pour les listes présentées par le Syndicat national des journalistes.

29 mars 2010

Votez SNJ. Défendons tous ensemble nos RTT !

Pas touche à nos RTT !

En septembre 2008, une journée de grève avait contraint GER à reporter la dénonciation des accords 35 heures. La direction avait alors entamé avec les syndicats une négociation qui a rapidement pris la forme d’une discussion sur le nombre de jours de RTT auxquels il faudrait renoncer. Or, négocier sur ces bases revient à gâcher le rapport de forces établi par la mobilisation des salariés.

Le 16 décembre 2008, la direction a fini par dénoncer les accords au mépris des salariés et de leurs représentants : le comité d’entreprise n’a fait connaître son avis qu’une fois les accords déjà dénoncés, et le comité d’hygiène et de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) n’a été ni informé ni consulté.

L'accord devait arriver à échéance fin mars 2010, mais pour mieux imposer ses vues, la direction l'a prorogé jusqu'à fin juin, avant les congés d’été, une période peu propice à la mobilisation. A cet égard, comment peut-on se vanter d'avoir fait reculer la direction au moyen d'une pétition, le 15 février dernier, alors qu'elle envisageait dès le 19 janvier dans un courrier aux représentants des salariés de L'Etudiant, de repousser la négociation des 35 heures ?

Fidèle à la mobilisation des salariés, le SNJ ne négociera pas à la baisse le nombre de jours de RTT en bradant ces acquis contre d’illusoires compensations.
De fin 2001 à fin 2008, le groupe a perdu 138 postes. Depuis, les effectifs ont continué à fondre à la suite des PSE de GER et celui d’Atmosphères en 2009 (70 postes supprimés). Moins de RTT, c’est à coup sûr, travailler plus encore, et subir davantage de pression et de stress. Ensemble et dans l’action, disons qu’il n’est pas question de travailler plus pour compenser les départs non remplacés et l'accroissement de la charge de travail.

Le SNJ souhaite que la mobilisation des salariés se fasse dans la plus large unité du personnel et de ses représentants, sur un mot d’ordre simple, qui était celui des assemblées générales du personnel, fin 2008 et qui reste d'actualité : pas touche à nos RTT !

Le jeudi 1er avril 2010, votez pour les listes présentées par le Syndicat national des journalistes.